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Le blog de Malicorne

Le blog de Malicorne

Journal d'un citoyen français, militant de la vie et de la liberté


nouvelles pistes en physique à explorer

Publié par Bernard Maillard sur 5 Février 2012, 11:52am

Catégories : #sciences

 

a-bord-de-Morvaout-aout-2006.jpg

                   Navigation en mer d'Iroise, août 2006

 

Extraits de travaux de Jean Maillard (1910-2009)

Partant du constat que la propagation de l'énergie électromagnétique est spatiale et ondulatoire, (cf autre article de ce blog, l'électricité, science et développements, ) il conviendrait de refaire l'expérience de Michelson et Morley avec la précision qui convient.

Cette expérience utilisant un interféromètre sur un plateau tournant permet de détecter des éventuelles variations en fonction de l'azimuth de la valeur de β²,  où  β est le rapport v/c, v étant la vitesse de la Terre sur son orbite autour du soleil  (30 km par seconde) et c la vitesse de la lumière.

La théorie de la relativité considère un résultat égal à zéro pour β² dans cette expérience.

La théorie classique attend un résultat de  10-8 pour β².

La première expérience de Michelson a été réalisée à Berlin en 1881. 

Une deuxième expérience eut lieu en juillet 1887 conduite par Michelson et Morley. Le signal de 10-8 était clairement absent mais des valeurs de 10-9  furent enregistrées pour β².

En 1905, Morley et Miller reprirent l'expérience et obtinrent encore des valeurs de 10-9 pour β².

De 1924 à 1926, sur le Mont Wilson aux USA, Miller réalisé près de 200 000 relevés, et conclut à un signal de 10-9 pour β².

Joos en 1930 à Iena  signale dans le compte rendu de son expérience des données voisines de 10-9 pour β².

En 1968, au MIT, aux USA, le compte rendu de la première expérience réalisée avec deux lasers révèle un signal de 10-9 pour β²..

Jean Maillard; entre 2001 et 2005, a réalisé à son domicile, à Saint Germain-en-Laye, 78, France, plus de 40 000 enregistrements, espacés d'une demi-heure, jour et nuit. L'appareil comportait un laser mis en rotation sur un plateau tournant. La conception et la réalisation de l'appareil permettaient d' extraire du bruit de fond un signal réel en ayant la capacité de discerner d'un signal issu d'un défaut électronique ou mécanique. Un signal récurrent de l'ordre de 10-9 a de nouveau été constaté pour la valeur mesurée de β².

plateau tournant

Plateau de l'interféromètre de l'expérience de Michelson reprise par Jean Maillard en 2001/2005

Le contenu de l'expérience et ses résultats ont été présentés par Jean Maillard le 9 mai 2005 devant le Groupe Scientifique de l'AICPRAT (association des cadres retraités de Thomson CSF/Thales), conférence intitulée "L'expérience de Michelson"

http://www.aicprat.fr/wp-content/uploads/2015/04/tableau_conf_scient.pdf?10143d

Les analyses complémentaires ont été présentées de nouveau par Jean Maillard le 6 juin 2006 devant ce même Groupe Scientifique lors d'une conférence intitulée "Physique théorique, scientifique ou théologique"

Les conditions requises pour conduire et reproduire  l'expérience ont été précisées par Jean Maillard en septembre 2008 (correspondance à Alain Brillet en date du 6 septembre 2008)

Celles ci passent par la réalisation préalable à l'expérience d'un protocole de test du bon fonctionnement de l'appareil de mesure, avec un signal simulé en réel, permettant d'avoir la garantie préalable de la capacité de l'appareil à pouvoir détecter effectivement un signal de très faible niveau. Une telle opération de vérification et de qualification de l'appareil de mesure doit comporter les différentes étapes suivantes considérées comme indispensables, avec la traçabilité et la reproductibilité qui conviennent: 

               - vérification de la linéarité de la commande: les lasers n'étant pas en rotation, on fait varier la fréquence des lasers, et on vérifie la linéarité entre la commande en tension et la fréquence, dans la plage de commande en tension utilisée

              - vérification de la capacité à extraire un signal de type β². Le repérage de marqueurs physiques sur le disque en rotation permettra de confirmer la capacité de l'appareil à détecter dans la rotation un signal en nature (différenciation d'une mesure sur deux axes à directions perpendiculaires sur le plateau en rotation) similaire au signal en  β² recherché

              - confirmation du seuil de détection au-delà du bruit de fond. L'appareil étant mis en rotation, sur la plage de mesure préalablement vérifiée, il sera créé un signal de test devant donner en sortie un signal de 10-9. L'appareil doit être en mesure de détecter, clairement détaché du bruit de fond mécanique et électronique, ce signal.

 

De nouvelles pistes à explorer

extraits de commentaires dictés par Jean Maillard   (1910-2009)

le 6 octobre 2008

"je signale que dans les données astronomiques il doit y avoir possibilité de détecter v' dans l'aberration des étoiles, qui n'a rien à voir avec la parallaxe. Voir si les données précises astronomiques ne permettent pas de l'enregistrer. Il faut trouver v' dans l'aberration des étoiles telle que (v+v' )/c, où v' est un vecteur qui reste constant au cours des âges. Voir si les données précises astronomiques ne permettent pas de l'enregistrer.

Il faut également mesurer la vitesse relative d'une étoile par rapport à l'autre. Nous y détecterons l'effet Doppler mais également la variation dans le temps de l'énergie , de la densité énergétique spatiale contenue dans le nombre h, constante de Planck"

le 31 décembre 2008

"on peut concevoir qu'au cours des milliards d'années avant notre ère, la densité énergétique de l'espace ait varié, ce qui est une hypothèse qui peut remplacer l'hypothèse du big bang, mais il est difficile d'admettre une variation d'énergie uniquement positive. Par ailleurs, la symétrie des particules fondamentales protons/anti protons, électrons/positrons, et aussi la loi de la gravitation universelle font supposer que la masse M peut prendre des valeurs positives ou négatives. Admettre ceci est aussi admettre la possibilité d'un milieu dit le vide d'une très faible densité, c'est aussi concevoir une séparation facile d'un milieu de densité positive mélangé à un milieu de densité négative, par une simple opération de rotation, le milieu positif subissant une accélération centrifuge, et le milieu négatif une accélération centripète. C'est aussi résoudre la difficulté de concevoir une particule élémentaire correspondant à un champ électrique qui la ferait exploser ou une accélération de rotation comme le donne le spin en concevant une particule non pleine, mais simplement un tourbillon à la vitesse périphérique égale à la vitesse de la lumière... "

Ces différents éléments conduisent à émettre cinq jeux d'hypothèses:

- tout système en mouvement est en interaction avec l'espace doté d'une densité énergétique spatiale non nulle, dépendante de la fréquence. En particulier, les sytèmes planétaires en rotation autour d'un point central, que ce soit à l'échelle sub atomique, à l'échelle atomique ou à l'échelle d'un système planétaire comme celui autour de notre soleil, ou dans une galaxie, disposent de trajectoires circulaires d'équilibre en harmonie ou en cohérence avec des raies de résonance de l'espace énergétique environnant.

- la densité spectrale énergétique de l'espace peut varier au cours des âges. Les décalages observés des raies vers le rouge ne seraient pas seulement qu'un simple effet doppler dû à l'éloignement des galaxies, les unes par rapport aux autres. Cela réinterroge et la date initiale de l'univers, très certainement beaucoup plus éloignée que les quelques treize milliards d'années aujourd'hui considérées, et le fait qu'il soit ou non en expansion. La constante de Planck, image de la densité énergétique spectrale de l'espace dans une certaine plage de fréquences, pourrait ne pas être elle même constante à travers les âges voire les lieux de l'univers.

- pour mieux détecter, caractériser  et comprendre la nature de la matière de masse négative, il convient de s'intéresser de très près aux événements produits près des axes de rotation de systèmes en rotation, au centre des atomes, aux axes de rotation des machines tournantes sur terre, au centre des tornades, au centre du soleil, au centre de notre galaxie (Sgr A* Sagittarius A *), à la quête de traces de la matière de masse négative, soit par effet direct, soit par effet indirect par ombre ou par miroir, la matière de masse négative centripète venant se concentrer au centre de tout  système en rotation.Est-ce là une piste pour mieux appréhender l'inertie elle même associée très probablement à la gravitation?

  - comme nous avons considéré la masse comme pouvant être négative, l'énergie elle même peut prendre des valeurs négatives, et de la matière à masse négative sera porteuse d'énergie négative. On peut supposer que la somme totale des énergies totales positives et négatives s'annule dans l'univers. Il est possible dans ces conditions de concevoir une séparation dans l'univers entre la matière de masse négative et la matière de masse positive qui varie de manière quasi infinie dans le temps, sans devoir considérer un début initial. La notion de big bang perd son sens et devient alors caduque.

 -La densité spectrale énergétique de l'espace est liée à la répartition des énergies, positives et négatives, dans les différentes fréquences. Comme tout système planétaire, qu'il soit petit ou grand, interagit avec l'espace énergétique environnant, l'étude locale, aussi petite soit-elle, porte en elle même une dimension de l'univers, et donne en conséquence une image, incomplète, mais une image quand même, un reflet de l'univers.

  reglage-plateau-tournant.jpg

réglage de l'interféromètre de Michelson par Jean Maillard

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